Fruit, Elie (dir.)
Histoire de Compiègne
Liste des ouvrages
Compiègne au fil des années et des siècles
Mourichon, Jacques
Librairie Daelman, Compiègne, 1973.
In-4, pleine toile éditeur bleue, titre doré sur le plat supérieur, 150 pp.
Envoi autographe signé de l'auteur en page de faux-titre.
Avec 25 illustrations en noir et blanc in texte.
Bon état. Coins légèrement émoussés.
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Préface, par Michel Legendre, architecte des Bâtiments de France - Chapitre I. De Compendium à Carlopode, de la Gaule à la féodalité - Chapitre II. La "Commune" de Compiègne, du XIe au XIVe siècle - Chapitre III. Autour de Jeanne d'Arc, la Guerre de Cent ans - Chapitre IV. Face aux Impériaux et aux Ligueurs : une place-forte fidèle, de Charles VIII à Henri IV - Chapitre V. Le bienfait royal de la paix. Le camp de 1698, Louis XIII et Louis XIV - Chapitre VI. L'apogée de la cité royale , Louis XV et Louis XVI - Chapitre VII. Vandalisme et invasions, la Révolution et l'Empire - Chapitre VIII. De la Restauration à la fête impériale, de 1815 à 1870 - Chapitre IX. A travers trois guerres. L'entrée dans l'ère industrielle, de 1870 à nos jours - Bibliographie et sources - Table des matières.
Il s'agit du dernier ouvrage écrit par l'érudit, bibliophile et donateur compiégnois Jacques Mourichon (1888-1972), qui présida la Société Historique de Compiègne.
"J'ai connu le président Mourichon il y a vingt ans", écrit l'architecte Michel Legendre, "quand je fus nommé architecte des Bâtiments de France. La chaleur de son accueil animé et sa vivante érudition m'attirèrent aussitôt. Bientôt il me confiait la vice-présidence de cette Société Historique qui occupait une telle part dans son existence [...]/
On image mal, tant elle est pour nous associée à ce décor, de ne plus voir son élégante silhouette, allègrement accompagnée de sa canne, allant de la Surintendance à l'Hôtel de Ville, où il fut trente années un conseiller très écouté. Sur le chemin, il était attentif aux atteintes subies par les monuments familiers : l'Hôtel de Ville, Saint-Jacques, Saint-Antoine, la Vieille Cassine, le Grenier à Sel. Le Service des Beaux-Arts doit, en grande partie, à cet incomparable mentor, la préservation puis la résurrection du cloître Saint-Corneille."
"J'ai connu le président Mourichon il y a vingt ans", écrit l'architecte Michel Legendre, "quand je fus nommé architecte des Bâtiments de France. La chaleur de son accueil animé et sa vivante érudition m'attirèrent aussitôt. Bientôt il me confiait la vice-présidence de cette Société Historique qui occupait une telle part dans son existence [...]/
On image mal, tant elle est pour nous associée à ce décor, de ne plus voir son élégante silhouette, allègrement accompagnée de sa canne, allant de la Surintendance à l'Hôtel de Ville, où il fut trente années un conseiller très écouté. Sur le chemin, il était attentif aux atteintes subies par les monuments familiers : l'Hôtel de Ville, Saint-Jacques, Saint-Antoine, la Vieille Cassine, le Grenier à Sel. Le Service des Beaux-Arts doit, en grande partie, à cet incomparable mentor, la préservation puis la résurrection du cloître Saint-Corneille."
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