ARTICLES


Valenciennes avant la France Dauby Jean

Valenciennes avant la France Dauby Jean

Valenciennes avant la France Dauby Jean

Valenciennes avant la France
Dauby, Jean


auteur-éditeur J. Dauby, Famars-Valenciennes, 1977.


In-8, format à l'italienne, en feuilles sous une chemise rempliée et  illustrée en noir, un cahier de texte broché de 16 pp, 12 planches indépendantes contenant des vues de la ville et un plan dépliant (le plan de la ville de 1649).   
Edition originale. Un des 1000 exemplaires numérotés de 1 à 1000 après 26 exemplaires hors-commerce numérotés de A à Z ; cet exemplaire porte le n° 652.


Avec un envoi autographe signé de l'auteur en page 16 du cahier.


Ex-libris tamponné sur la chemise.


Bon état d'ensemble.




Livre non disponible
Poète, Jean Dauby (1919-1997) a créé (en 1967) et animé le centre Froissart (expressions poétiques), à Valenciennes, ainsi que les Cahiers Froissart, émanation éditoriale dudit centre. Ce professeur fut également un historien de la langue picarde et un spécialiste du "rouchi", qui s'attacha notamment à faire rééditer les oeuvres de Jules Mousseron, le poète-mineur de Denain.
Ce recueil richement illustré a été publié à l'occasion du tricentaire du rattachement de Valenciennes à la France (1677).


Le cahier de texte présente en couverture le panorama de la ville, tiré de l'histoire de Valenciennes, d'Henri d'Oultreman, moins précis sans doute que celui qui fut dessiné par Van der Meulen lors du siège de 1677, mais d'une exécution plus arbitraire et savoureuse. "Il est postérieur à 1625 puisque le Mont-de-Piété y figure et cependant, les Jésuites, dont l'église fut bâtie entre 1601 et 1607, sont encore indiqués à leur première résidence "sur les Viviers". Au premier plan, le dessinateur a magnifié la Porte Tournaisienne dont l'embonpoint gâte les belles proportions. Malgré certaines imperfections, ce panorama possède une saine et séduisante vigueur. Il a été dessiné d'un emplacement  qui pourrait être celui de l'actuelle Eglise Sainte-Croix, avenue de Condé." (Jean Dauby)