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Léon Spillaert Un esprit libre
Adriaens-Pannier, Anne (dir.)
Editions Ludion, Gand, 2006.
In-4, broché sous couverture rempliée et illustrée, 207 pp.
Nombreuses illustrations en noir in texte et 213 figures.
Bon état d'ensemble.
Livre non disponible
Ce catalogue a été édité à l'occasion de l'exposition présentée aux Musées royaux des beaux-arts de Belgique, à Bruxelles, du 22 septembre 2006 au 4 février 2007.
Vingt-quatre ans après la première rétrospective d'ampleur organisée à Bruxelles et à Paris, aux Galeries nationales du Grand Palais, Léon Spilliaert faisait à nouveau l'objet d'une nouvelle exposition aux Musées royaux des Beaux-Arts. Grâce notamment au don effectué par la fille de l'artiste, Madeleine Spilliaert, cet artiste occupe une place majeure dans les collections de ces musées.
Après Ensor et Khnopff, Spilliaert bénéficiait ainsi d'une rétrospective d'autant plus importante que son oeuvre se situe à l'articulation du XIXe et du XXe siècle.
"Au monde des idées animé par le doute succède une mise en cause systématique du principe de réalité fondé sur l'impossibilité de penser encore la condition humaine", écrit Michel Draguet. "Marqué par la culture littéraire symboliste, Spilliaert met en scène une modernité placée sous le signe de la crise. Son oeuvre reflète la conscience d'un sujet troué qui ne cesse de nous parler."
Vingt-quatre ans après la première rétrospective d'ampleur organisée à Bruxelles et à Paris, aux Galeries nationales du Grand Palais, Léon Spilliaert faisait à nouveau l'objet d'une nouvelle exposition aux Musées royaux des Beaux-Arts. Grâce notamment au don effectué par la fille de l'artiste, Madeleine Spilliaert, cet artiste occupe une place majeure dans les collections de ces musées.
Après Ensor et Khnopff, Spilliaert bénéficiait ainsi d'une rétrospective d'autant plus importante que son oeuvre se situe à l'articulation du XIXe et du XXe siècle.
"Au monde des idées animé par le doute succède une mise en cause systématique du principe de réalité fondé sur l'impossibilité de penser encore la condition humaine", écrit Michel Draguet. "Marqué par la culture littéraire symboliste, Spilliaert met en scène une modernité placée sous le signe de la crise. Son oeuvre reflète la conscience d'un sujet troué qui ne cesse de nous parler."