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 p Les Colombieres Ses jardins et ses decors commentees par leurs auteurs p p Bac Ferdinand p

 p Les Colombieres Ses jardins et ses decors commentees par leurs auteurs p p Bac Ferdinand p

Les Colombières - Ses jardins et ses décors commentées par leurs auteurs


Bac, Ferdinand


Louis Conard, Libraire-Editeur, Paris, 1925.


Garden - Southern France - 1925 - Côte d'Azur - Ferdinand Bac - Les Colombières - French Architecture - Monographs - Rare Book - Paperback - Fairly Good Condition

In-4, broché sous couverture illustrée en couleurs, 98 pp. - pl.


Avec 60 planches en hors texte en couleurs commentées par l'auteur.


Rare.


Assez bon état. Couverture légèrement fanée, avec quelques frottements, rides sur le dos, un manque de papier angulaire sur le plat supérieur, léger pli angulaire sur quelques pages, sinon plutôt bon état intérieur.




Livre non disponible

Superbe évocation par le texte et par l'image du jardin méditerranéen conçu par Ferdinand Bac (1859-1952) près de Menton.


"Charmé par les environs, écrit Agnès du Vachat, Bac s’installe à partir de 1919 à Menton, chez un couple d’amis aisés, Caroline et Émile Ladan-Bockairy. Issu d’une famille de diplomates suisses, ce dernier a acquis en 1918 l’ancienne propriété du philosophe Alfred Fouillée située parmi les oliviers, les caroubiers et les pins de la colline de Menton-Garavan où le couple réside huit mois par an.

"Les Ladan-Bockairy agrandissent la propriété en y annexant des terrains contigus et chargent Ferdinand Bac de la décoration intérieure de la villa et de la création d’un jardin, achevé en 1925, année où il publie une description des lieux intitulée Les Colombières, ses jardins et ses décors, commentés par leur auteur

"Surplombant la baie de Menton et la mer Méditerranée, ce jardin de six hectares s’articule en une série de compartiments ménageant des échappées sur le paysage alentour : la mer, le port de Menton et les collines environnantes. Ces vues sont intégrées au jardin et sublimées par des fenêtres végétales. Des allées, des ponts et des escaliers relient entre elles les différentes parties du jardin dont l’altitude varie de cinquante à cent trente mètres. Fabriques, vases et statues ponctuent le jardin et évoquent les contrées visitées par Bac lors de ses voyages. Cette situation en hauteur et en pente distingue nettement les Colombières des jardins aménagés jusque-là sur le littoral méditerranéen, notamment ceux des hivernants britanniques qui se développaient parallèlement au rivage, entre la villa et la mer." [Agnès du Vachat, Ferdinand Bac et l'imaginaire méditerranéen].