Exposition des Primitifs flamands et d'art ancien - Bruges - 1902 - Première section : tableaux - catalogue sommaire
Liste des ouvrages
Joos van Cleve au Louvre
Scailliérez, Cécile
Editions de la Réunion des musées nationaux, les dossiers du département des Peintures, Paris, 1991.
In-8 de format carré, broché sous couverture illustré en couleur, 119 pp.
Nombreuses figures en noir in texte et 7 planches en couleur.
Bon état.
afficher le sommaire
Sommaire - I. Les pôles de la formation 1507 Adam, Eve. - La Vision de Saint-Bernard - II. Joos van Cleve et Joachim Patinir : le cas de La Vierge à l'Enfant avec un dominicain - III. Le Christ en Salvator Mundi - IV. Le retable de Santa Maria della Pace de Gênes - Joos van Cleve et Gênes - Les portraits - Les oeuvres et l'atelier - notes - bibliographie.
Ce catalogue a été édité à l'occasion de l'exposition présentée au musée du Louvre, pavillon de Flore, du 14 février au 27 mai 1991.
Les mentions de Joos van Cleve dans les archives anversoises s'échelonnent entre 1511, date de sa réception comme franc-maître de la gilde de Saint-Luc, et 1540, date à laquelle il rédige son testament. Deux actes postérieurs (1541 et 1542) confirment sa mort en citant comme veuve sa seconde épouse, Kathlyne van Mispeelteren.
"Enfin, prenant le relais des archives, l'historiographie de la seconde moitié du XVIe siècle nous apporte sa contribution à la redéfinition du peintre. Sa mémoire s'est vaguement maintenue sous ce nom de Joos van Cleve dans les décennies qui suivirent sa mort, avant de se déformer au tournant du siècle suivant. Joos van Cleve apparaît en 1568 dans les Vies de Vasari (...). Il figure parmi les vingt-trois illustres peintres des Pays-Bas sélectionnés dans les Pictorium aliquot celebrium Germaniae inferioris effigies, recueil des portraits gravés accompagnés de vers latins écrits par l'humaniste Dominicus Lampsonius et publiés à Anvers en 1572. Il fait finalement l'objet d'une biographie dans Le Livre des Peintres de Karel van Mander, paru à Haarlem en 1604."
Les mentions de Joos van Cleve dans les archives anversoises s'échelonnent entre 1511, date de sa réception comme franc-maître de la gilde de Saint-Luc, et 1540, date à laquelle il rédige son testament. Deux actes postérieurs (1541 et 1542) confirment sa mort en citant comme veuve sa seconde épouse, Kathlyne van Mispeelteren.
"Enfin, prenant le relais des archives, l'historiographie de la seconde moitié du XVIe siècle nous apporte sa contribution à la redéfinition du peintre. Sa mémoire s'est vaguement maintenue sous ce nom de Joos van Cleve dans les décennies qui suivirent sa mort, avant de se déformer au tournant du siècle suivant. Joos van Cleve apparaît en 1568 dans les Vies de Vasari (...). Il figure parmi les vingt-trois illustres peintres des Pays-Bas sélectionnés dans les Pictorium aliquot celebrium Germaniae inferioris effigies, recueil des portraits gravés accompagnés de vers latins écrits par l'humaniste Dominicus Lampsonius et publiés à Anvers en 1572. Il fait finalement l'objet d'une biographie dans Le Livre des Peintres de Karel van Mander, paru à Haarlem en 1604."
