Gillet, Louis
L'art flamand et la France
Liste des ouvrages
La France et l'art flamand
Baes, Edgar
Editions de la revue graphique belge, Bruxelles, 1903.
In-8, broché, 47 pp.
Avec bandeaux et culs-de-lampe.
Etat moyen. Couverture défraichie avec déchirures et petits manques de papier, intérieur correct. Parfait exemplaire de travail.
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A la France - Avant-propos - I... V. Conclusion.
Peintre et graveur, Edgar Baes (Ostende, 1837 - Ixelles, 1909) s'adonna également à la critique d'art dans différentes revues spécialisées telles que La Fédération artistique, de 1894 à 1900, Le Carillon, de 1901 à 1908. Il consacra, par ailleurs, plusieurs livres à l'histoire de l'art belge, dont L'art primitif français et le style de Flandre et de Bourgogne (1904), et participa au fameux numéro de "La Plume", publié à l'occasion de l'exposition parisienne de James Ensor.
Brochure polémique, La France et l'art flamand étudie "ce que l'art belge, autrement dit l'art flamand, a eu de commun avec la France (...) En réalité, l'école flamande doit beaucoup à la France, surtout à ce point de vue intéressé de l'encouragement, et si la puissance artistique des Belges est indéniable, on peut se demander ce qu'elle a pu gagner au contact de l'Allemagne." Et Baes de conclure de façon péremptoire : "Nous nous adressons aux Belges qui, de bonne foi, voulant rattacher l'art actuel à celui des grands maîtres passés, croient devoir répudier toute attache avec la France artiste et mécène, et nous leur montrons que dans les temps anciens comme aujourd'hui, l'école belge eut bien rarement, sinon jamais, à regretter, même au milieu des guerres et des révolutions, ses relations d'intimité avec notre puissance voisine."
Brochure polémique, La France et l'art flamand étudie "ce que l'art belge, autrement dit l'art flamand, a eu de commun avec la France (...) En réalité, l'école flamande doit beaucoup à la France, surtout à ce point de vue intéressé de l'encouragement, et si la puissance artistique des Belges est indéniable, on peut se demander ce qu'elle a pu gagner au contact de l'Allemagne." Et Baes de conclure de façon péremptoire : "Nous nous adressons aux Belges qui, de bonne foi, voulant rattacher l'art actuel à celui des grands maîtres passés, croient devoir répudier toute attache avec la France artiste et mécène, et nous leur montrons que dans les temps anciens comme aujourd'hui, l'école belge eut bien rarement, sinon jamais, à regretter, même au milieu des guerres et des révolutions, ses relations d'intimité avec notre puissance voisine."