Goyens de Heusch, Serge
Louis van Lint
Liste des ouvrages
Eugène Laermans 1864-1940
Roberts-Jones, baron Philippe (dir.)
Snoeck-Ducaju & Zoon et Crédit communal, collection "Monographies de l'art moderne", Bruxelles, 1995.
In-4, reliure pleine toile éditeur sous jaquette illustrée en couleur, 163 pp.
Nombreuses illustrations en noir et en couleur.
Bon état. Un accroc infime sur la jaquette.
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Avant-propos, par François Narmon - Eugène Laermans, l'homme et l'horizon, par Ph. Roberts-Jones - 1864-1940. Une vie d'artiste, l'histoire d'un pays, l'évolution d'une société, par Jean Puissant - Du constat à l'interprétation, l'art social de Joseph Stevens à Eugène Laermans - L'Eden et le progrès. Laermans et la culture symboliste, par Michel Draguet - Le peintre et les écrivains, par Paul Aron - Eugène Laermans pas à pas, par Claude Goormans - Bibliographie sélective - Sommaire.
Cet ouvrage a été édité à l'occasion de l'exposition présentée dans la Galerie du Crédit communal, boulevard du Jardin botanique à Bruxelles, du 17 mars au 25 juin 1995.
"Né en 1864 et mort en 1940, Laermans occupe une place paradoxale dans l'histoire de l'art en Belgique. Il est connu, mais pas totalement reconnu. Atteint de fièvre typhoïde ou de méningite alors qu'il était encore enfant, l'homme et l'oeuvre ont parfois été occultés par une biographie tragique qui fait de Laermans un sourd privé en partie de la parole et bientôt aveugle. L'imaginaire collectif le voit comme un solitaire qui, en banlieue, se penche sur le sort des humbles;
Peintre des paysans et de la misère suburbaine, Laermans n'en est pas moins un homme de son époque, soucieux de littérature, épris de modernité, attentif aux innovations. L'homme est à l'écoute de son temps sans jamais s'enfermer dans une étiquette trop étroite ni se reconnaître d'une école exclusive. Il peint et, par sa peinture, témoigne des dimensions emblématiques de son temps.
Cette monographie, placée sous le commissariat de Philippe Roberts-Jones, conservateur en chef honoraire des musées royaux des Beaux-Arts de Belgique et secrétaire perpétuel de l'Académie royale de Belgique, entendait remettre en lumière l'oeuvre d'un artiste qui, en son temps, constituait une des figures majeures de l'art belge."
"Né en 1864 et mort en 1940, Laermans occupe une place paradoxale dans l'histoire de l'art en Belgique. Il est connu, mais pas totalement reconnu. Atteint de fièvre typhoïde ou de méningite alors qu'il était encore enfant, l'homme et l'oeuvre ont parfois été occultés par une biographie tragique qui fait de Laermans un sourd privé en partie de la parole et bientôt aveugle. L'imaginaire collectif le voit comme un solitaire qui, en banlieue, se penche sur le sort des humbles;
Peintre des paysans et de la misère suburbaine, Laermans n'en est pas moins un homme de son époque, soucieux de littérature, épris de modernité, attentif aux innovations. L'homme est à l'écoute de son temps sans jamais s'enfermer dans une étiquette trop étroite ni se reconnaître d'une école exclusive. Il peint et, par sa peinture, témoigne des dimensions emblématiques de son temps.
Cette monographie, placée sous le commissariat de Philippe Roberts-Jones, conservateur en chef honoraire des musées royaux des Beaux-Arts de Belgique et secrétaire perpétuel de l'Académie royale de Belgique, entendait remettre en lumière l'oeuvre d'un artiste qui, en son temps, constituait une des figures majeures de l'art belge."