ARTICLES
Constant Dutilleux 1807-1865
Chesneau, Ernest
Charavay Frères, Editeurs, Paris, 1880.
In-8, broché, 30 pp.
Exemplaire numéroté du tirage à part [n° 35] tiré à 50 exemplaires sur papier vélin.
Ex-dono d'Alfred Robaut-Dutilleux à Jules Claretie en page de titre.
Extrait du volume intitulé Peintres et statuaires romantiques, publié chez le même éditeur, en 1880.
Bon état. Rousseurs éparses sur les tranches.
Livre non disponible
L'année de la parution ce cette monographie du peintre d'Arras Constant Dutilleux (1807-1865), le critique et historien d'art Ernest Chesneau (1833 - 1890) avait également publié une importante monographie du Statuaire Jean-Baptiste Carpeaux.
"La vie, la vie de province surtout, a parfois de terribles exigences, de cruelles amertumes", écrit E. Chesneau. "Elle a pris Dutilleux au moment où il sortait de l'atelier et jusqu'aux dernières heures l'a gardé dans son ombre. Le nom de l'artiste commence à peine à s'en dégager. Ce n'était pourtant pas le premier venu, le peintre qu'estimèrent, l'homme qu'aimèrent les deux grands maîtres de l'Ecole française en ce siècle : Eugène Delacroix et Corot. [...] Il n'a manqué à Dutilleux que de vivre dans un milieu plus ardent, ici à Paris. La province lui a donné le bonheur. C'est une compensation.'
"La vie, la vie de province surtout, a parfois de terribles exigences, de cruelles amertumes", écrit E. Chesneau. "Elle a pris Dutilleux au moment où il sortait de l'atelier et jusqu'aux dernières heures l'a gardé dans son ombre. Le nom de l'artiste commence à peine à s'en dégager. Ce n'était pourtant pas le premier venu, le peintre qu'estimèrent, l'homme qu'aimèrent les deux grands maîtres de l'Ecole française en ce siècle : Eugène Delacroix et Corot. [...] Il n'a manqué à Dutilleux que de vivre dans un milieu plus ardent, ici à Paris. La province lui a donné le bonheur. C'est une compensation.'