Monticelli

Coquiot, Gustave

Albin Michel, Editeur, Paris, 1925.

Petit in-8, broché sous couverture rempliée, à grande marge, 262 pp.

Avec 32 reproductions en noir en hors texte.

Un des 5 exemplaires numérotés sur papier de Hollande numérotés à la presse de I à 5 [ex. n° 3], premiers grands papiers.

Coiffes émoussées, usure des marges avec plis et petites déchirures ; partie gauche de la couverture insolée.

La peinture peut-elle, parfois, remplacer la maréchaussée, c'est-à-dire refréner certaines méchantes passions : par exemple le vol, le viol ou l'assassinat? - La peinture peut-elle et doit-elle être régionale? Au temps de Monticelli, exista-t-il une peinture provençale, ayant la vigueur bien connue de la cuisine provençale? - Peintres marseillais... Et Monticelli - Marseille, porte de l'Orient et Monticelli - Monticelli de Marseille, hôte de Paris - Retour à Paris - Le chemin des écoliers et les paysages d'or - Les fleurs inanimées - Splendeur ou intimité des choses silencieuses - Féeries et ballets - Dans la lumière et dan l'ombre des parcs - Portraits - Le peintre religieux - Le peintre touche-à-tout - Nus - L'orientaliste - Monticelli ne veut plus quitter Marseille - Sa douce mort - Le fou Delarbeyrette - Pour conclure - Catalogue sommaire de l'oeuvre de Monticelli - Tables.