Armand de Flaux
Histoire de la Suède
pendant la vie
et
sous le règne de Gustave Ier
La Suède au XVIe siècle
L'art de la Renaissance en France L'invention du classicisme
Zerner, Henri
Editions Flammarion, Paris, 1996.
Fort in-4, reliure pleine toile éditeur sous jaquette illustrée en couleurs, 414 pp.
Avec 459 illustrations en noir et en couleurs in et hors texte.
Avec un envoi autographe signé de l'auteur sur le faux-titre.
Bon état. Jaquette un peu frottée.
Introduction - I. Le gothique à la Renaissance - II. Fontainebleau, Rosso et la Galerie François Ier - III. Le classicisme antiquisant des années 1540 : Cellini, Serlio et Primatice - IV. Les enseignements de Fontainebleau - V. Lescot, Goujon et le Louvre - VI. Les Clouet - VII. Jean Cousin et la peinture - VIII. Jean Cousin et les métiers d'art - IX. Paris et les provinces - X. La sculpture et la mort - XI. Le sentiment national. Philibert De L'Orme - Notes - Bibliographie - Index.
Ouvrage de référence sur l'Art de la Renaissance en France par l'historien d'art Henri Zerner, conservateur du cabinet des Estampes du Fogg Art Museum jusqu'en 1988, et professeur à l'université de Harvard.
A l'aube des temps modernes, l'art français, s'il a retenu les enseignements de la Renaissance italienne, a su les combiner avec les traditions nationales et des savoir-faire anciens pour donner naissance à des formes entièrement originales. Même les artistes italiens appelés à la Cour -Rosso et Primatice en particulier- ont été à l'origine en cette terre étrangère d'inventions distinctes des modèles de leur pays, tel l'impressionnant décor du château de Fontainebleau, l'une des œuvres les plus accomplies du siècle.
L'étude longuement mûrie d'Henri Zerner s'applique ainsi au décor monumental, à l'architecture, à la peinture, à la sculpture, mais aussi aux arts dits mineurs, le vitrail, la tapisserie, l'orfèvrerie ou encore l'armurerie. Ces derniers jouaient en effet un rôle de choix en France où la peinture, alors, n'occupait pas la première place comme en Italie ou dans les pays du Nord. A cet égard, la personnalité d'un Jean Cousin est révélatrice : peintre pratiquement sans tableaux, il a réservé son talent à l'établissement de modèles pour les vitraux, des tapisseries et autres objets d'art."