Baudson, Pierre ; Levine, Sura et Vandepitte, Francisca
Constantin Meunier à Séville - L'ouverture andalouse
Liste des ouvrages

Constantin Meunier
Fontaine, André
Librairie Félix Alcan, Paris, 1923.
Petit in-8, broché, exemplaire non coupé, 162 pp.
Portrait de Constantin Meunier par Isidore Verheyden en frontispice.
XVI planches en noir et blanc en hors-texte.
Bon état. Dos très légèrement frotté ainsi qu'une tranche, papier jauni.
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Introduction - Chap. I. : la première vocation - Chap. II. : le peintre des scènes religieuses et historiques - Chap. III. : le voyage en Espagne et l'orientation vers les scènes de la vie ouvrière - Chap. IV. : le retour à la sculpture - Chap. V. : les vrais débuts - Chap. VI. : la période de Louvain - Chap. VII. : les dernières années - Conclusion - Appendice -Table des planches - Tables des matières.
"Le 4 avril 1905, mourait à Bruxelles un des plus grands artistes de notre temps et peut-être de tous les temps. Célèbre, Constantin Meunier l'était devenu rapidement, puisque, vingt et un ans seulement avant de disparaître, il exposait ses premiers essais de sculpture et qu'à sa mort beaucoup de gens ignorant que, pendant plus de trente ans, il s'était consacré exclusivement à la peinture, n'admiraient en lui que le puissant évocateur des travailleurs de l'usine et de la terre. "
L'empathie de l'auteur pour cet artiste qui donna un visage au Borinage n'est pas sans rappeler le jugement émis quelques années plus tard par André Fontainas : "Je ne connus que plus tard [...] l'admirable sculpteur Constantin Meunier, un des hommes dont la bonté foncière, la conviction probe et calme, la sûreté et la loyauté m'ont le plus profondément imprégné de respect et de ferveur." (Mes souvenirs du symbolisme, 1928)
L'empathie de l'auteur pour cet artiste qui donna un visage au Borinage n'est pas sans rappeler le jugement émis quelques années plus tard par André Fontainas : "Je ne connus que plus tard [...] l'admirable sculpteur Constantin Meunier, un des hommes dont la bonté foncière, la conviction probe et calme, la sûreté et la loyauté m'ont le plus profondément imprégné de respect et de ferveur." (Mes souvenirs du symbolisme, 1928)