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Collection Victorien Sardou - Objets d'art - Tableaux - Dessins - 1909
Gaston Lenôtre et Georges Cain (préface)
Galerie Georges Petit, Paris, les 27, 28 et 29 avril 1909.
In-4, broché, 115 pp.
Avec une vingtaine de planches en noir en hors-texte.
Etat moyen. Exemplaire passé, dos défraichi, en partie débroché. Parfait exemplaire de travail.
Livre non disponible
Augmenté d'un superbe portrait du dramaturge collectionneur en préface, ce catalogue a été édité à l'occasion de la vente après décès des tableaux, dessins et objets d'art de la Collection Victorien Sardou, à Paris, les mardi 27, mercredi 28 et jeudi 29 avril 1909.
Cet ouvrage rappelle à quel point l'auteur de Tosca fut un collectionneur d'art et un bibliophile compulsif. Epoux en seconde noces de la fille d'Eudore Soulié -conservateur au château de Versailles-, président de la société des Amis de Versailles, membre de la Commission du Vieux Paris et du musée Carnavalet, le dramaturge Victorien Sardou (1831-1908) avait transformé sa maison de Marly et son dernier appartement parisien du boulevard de Courcelles en véritables musées.
A son goût précoce pour les estampes, succéda sa passion boulimique pour les oeuvres d'art : "La fortune était venue avec le succès ; aux documents s'ajoutèrent les oeuvres d'art. Sardou, sans compter, pouvait accrocher à ses murs tapisseries, tableaux, dessins retraçant ce passé dont il était si curieusement amoureux et se meubler à l'avenant", écrivaient Gaston Lenôtre et Georges Cain.
Le catalogue de la vente fut dressé par les soins "éclairés" des experts suivants : MM. Féral, Sortais, Mannheim, Paulme et Lasquin.
Cet ouvrage rappelle à quel point l'auteur de Tosca fut un collectionneur d'art et un bibliophile compulsif. Epoux en seconde noces de la fille d'Eudore Soulié -conservateur au château de Versailles-, président de la société des Amis de Versailles, membre de la Commission du Vieux Paris et du musée Carnavalet, le dramaturge Victorien Sardou (1831-1908) avait transformé sa maison de Marly et son dernier appartement parisien du boulevard de Courcelles en véritables musées.
A son goût précoce pour les estampes, succéda sa passion boulimique pour les oeuvres d'art : "La fortune était venue avec le succès ; aux documents s'ajoutèrent les oeuvres d'art. Sardou, sans compter, pouvait accrocher à ses murs tapisseries, tableaux, dessins retraçant ce passé dont il était si curieusement amoureux et se meubler à l'avenant", écrivaient Gaston Lenôtre et Georges Cain.
Le catalogue de la vente fut dressé par les soins "éclairés" des experts suivants : MM. Féral, Sortais, Mannheim, Paulme et Lasquin.