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Deblaiement d art suivi de La triple offensive a la beaute le nouveau Max Elskamp La voie sacree La colonne Van de Velde Henry

Déblaiement d'art suivi de La triple offensive à la beauté, le nouveau, Max Elskamp, La voie sacrée, La colonne
Van de Velde, Henry


Editions des Archives d'Architecture Moderne, Bruxelles, 1979.


In-8 de format carré, reliure pleine toile éditeur avec titre doré sur le plat et le dos sous jaquette illustrée en couleur, 198 pp.
 
Bon état d'ensemble. Jaquette frottée avec une marque d'étiquette et petites déchirures, livre en très bon état.



Livre non disponible
Cette superbe édition, qui rassemble six essais de Henry van de Velde, a été publiée à l'occasion du cinquantième anniversaire de l'Institut des Arts Décoratifs -aujourd'hui l'Ecole nationale supérieure d'Architecture et des Arts visuels, dite école de la Cambre- que dirigea Van de Velde jusqu'en 1936. Elle regroupait les textes suivants :


Déblaiement d'art (Presses de Mme Vve Monnom, Bruxelles, 1985), présentée ici d'après la seconde édition.


La triple offensive à la beauté, conférence donnée à Berne, au palais fédéral au cours de l'hivers 1917-1918.


Le Nouveau. Son apport à l'architecture et aux industries d'art, essai du directeur de l'institut supérieur des Arts Décoratifs, publié à Bruxelles en 1929.


Max Elskamp, conférence donnée à l'Académie libre Edmond Picard le15 juin 1933 à Bruxelles.


La Voie sacrée, discours prononcé au Palais des Beaux-Arts de Bruxelles, le 8 avril 1933.


La Colonne, essai édité par l'Ecole nationale d'Architecture et des Arts décoratifs le 3 avril 1943 à l'occasion du quatre-vingtième anniversaire de l'architecte belge dans une édition limitée à 35 exemplaires.
Ces différents textes éclairent la position de Van de Velde devant l'industrie et l'artisanat, la question de la rupture de l'équilibre entre la création artistique et la technologie. Ils révèlent par ailleurs les tensions entre idéologie sociale révolutionnaire et l'affirmation d'une volonté d'art.
Le livre s'ouvre sur un vigoureux plaidoyer en faveur du retour à l'unité de l'art et s'achève sur le "drame de la colonne", sa chute "au plus bas degré de la dépravation" et "le triomphe de la conception rationnelle sur la Fantaisie."