Peeters, Denijs
Drie Vlaamse Schilders - Jack Godderis, Luc Peire, Rik Slabbinck
Liste des ouvrages
Luc Peire
Xuriguera, Gérard
Carmen Martinez éditions, Paris, 1976.
In-12, broché sous couverture rempliée et illustrée en couleur, 188 pp.
Nombreuses illustrations en noir.
Assez bon état. Couverture passée, pli en page de garde, sinon intérieur assez frais.
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Entre l'algèbre et la musique introduction à l'esprit d'une oeuvre - Vers la verticalité ou l'oeuvre de Luc Peire et son cheminement Environnements - Intégrations - Entretien avec G. Xuriguéra - Biographie - Bibliographie - Table des matières.
L’artiste plasticien Luc Peire (Bruges, 1916 - Paris, 1994) est parti de l’expressionnisme (dans le sillage de Constant Permeke) pour évoluer vers une réduction et une stylisation personnelle de la figure humaine (dans les années 50), puis une représentation de l’être humain en tant qu’être spirituel symbolisé par le mouvement vertical et situé dans un espace équilibré. Peire a bientôt été reconnu internationalement comme le maître du verticalisme abstrait. L'inclination naturelle de Luc Peire pour l'articulation de formes dans l'espace l'a conduit à exécuter diverses "intégrations" au coeur de l'architecture, comme à l'université de Villeneuve d'Ascq en 1975.
"Il m'a fallu plusieurs années pour me débarasser d'un expressionnisme qui finissait par m'étouffer' déclare le peintre à G. Xuriguéra. "J'avais besoin d'espace. Vers 1951-1952, ma peinture est devenue "métaphysique" (...) Je crois que dès 1956 on peut souligner dans ma démarche une tendance "métaphysique abstraite (...) A Paris, j'ai rencontré Michel Seuphor qui était aussi lié avec Sartoris. Je lui dois beaucoup car il m'a toujours soutenu et encouragé. J'ai passé avec lui des heures inoubliables. A différents titres donc Permeke, Westerdahl, Sartoris, Seuphor m'ont apporté beaucoup dans mon évolution et l'affirmation de mon style."
"Il m'a fallu plusieurs années pour me débarasser d'un expressionnisme qui finissait par m'étouffer' déclare le peintre à G. Xuriguéra. "J'avais besoin d'espace. Vers 1951-1952, ma peinture est devenue "métaphysique" (...) Je crois que dès 1956 on peut souligner dans ma démarche une tendance "métaphysique abstraite (...) A Paris, j'ai rencontré Michel Seuphor qui était aussi lié avec Sartoris. Je lui dois beaucoup car il m'a toujours soutenu et encouragé. J'ai passé avec lui des heures inoubliables. A différents titres donc Permeke, Westerdahl, Sartoris, Seuphor m'ont apporté beaucoup dans mon évolution et l'affirmation de mon style."