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Henri Evenepoel - Exposition rétrospective - peintures, dessins, aquarelles, eaux-fortes, lithographies, tapisseries
Willems, Georges et Lambotte, Paul (préface)
Galerie Georges Giroux, Bruxelles, 1932.
Grand in-8, broché, 80 pp.
Bon état d'ensemble. Couverture légèrement salie et frottée.
Livre non disponible
A l'exception de l'ensemble réuni au "Cercle artistique et littéraire de Bruxelles" en 1923, il y avait plus de vingt ans que l'oeuvre d'Henri Evenepoel (1872 - 1899) n'avait plus fait l'objet d'une rétrospective.
La dernière exposition importante de ses oeuvres avait eu lieu, en effet, l'année 1912, à l'initative de Georges Giroux.
"Désirant reprendre aujourd'hui le programme que ce dernier s'était assigné", écrit Georges Willems dans son avant-propos, "Nous nous sommes efforcés de réunir une centaine d'oeuvres parmi les meilleures d'un peintre dont on s'accorde à dire qu'il est grand, que l'on admire avec conviction, mais qui, en réalité, est ignoré par la génération nouvelle."
L'auteur de la préface, l'historien d'art Paul Lambotte (1862-1939), avait déjà consacré un ouvrage au peintre belge mort prématurément. En 1907, l'éditeur d'art Gustave van Oest, soucieux de développer les monographies de sa collection des artistes belges contemporains, avait commandé simultanément plusieurs ouvrages : un James Ensor à Emile Verhaeren, un Fernand Khnopff, à Louis Dumont-Wilden, un Eugène Laermans à Gustave Vanzype, un Emile Claus à Camille Lemonnier, un Victor Gilsoul à Camille Mauclair...
La commande de la première monographie consacrée à Evenepoel échut, elle, à Paul Lambotte, futur directeur général des Beaux-Arts ; édité en 1908, H.-J. Evenepoel comprenait 112 pages, 33 planches et 15 illustrations ainsi qu'un catalogue chronologique de l'oeuvre du peintre.
"A l'occasion de la présente rétrospective Evenepoel", écrit Lambotte en 1932, "j'ai relu mon essai publié il y a près de 25 ans et que je n'avais plus repris depuis. [...] J'en ai extrait quelques passages , non pas, certes, sous l'impression "QU'ON NE SAURAIT MIEUX DIRE" mais comme un témoignage de ma façon de juger la peinture en ces années lointaines, et -après tout- je crains que je ne sois encore de mon avis!"
La dernière exposition importante de ses oeuvres avait eu lieu, en effet, l'année 1912, à l'initative de Georges Giroux.
"Désirant reprendre aujourd'hui le programme que ce dernier s'était assigné", écrit Georges Willems dans son avant-propos, "Nous nous sommes efforcés de réunir une centaine d'oeuvres parmi les meilleures d'un peintre dont on s'accorde à dire qu'il est grand, que l'on admire avec conviction, mais qui, en réalité, est ignoré par la génération nouvelle."
L'auteur de la préface, l'historien d'art Paul Lambotte (1862-1939), avait déjà consacré un ouvrage au peintre belge mort prématurément. En 1907, l'éditeur d'art Gustave van Oest, soucieux de développer les monographies de sa collection des artistes belges contemporains, avait commandé simultanément plusieurs ouvrages : un James Ensor à Emile Verhaeren, un Fernand Khnopff, à Louis Dumont-Wilden, un Eugène Laermans à Gustave Vanzype, un Emile Claus à Camille Lemonnier, un Victor Gilsoul à Camille Mauclair...
La commande de la première monographie consacrée à Evenepoel échut, elle, à Paul Lambotte, futur directeur général des Beaux-Arts ; édité en 1908, H.-J. Evenepoel comprenait 112 pages, 33 planches et 15 illustrations ainsi qu'un catalogue chronologique de l'oeuvre du peintre.
"A l'occasion de la présente rétrospective Evenepoel", écrit Lambotte en 1932, "j'ai relu mon essai publié il y a près de 25 ans et que je n'avais plus repris depuis. [...] J'en ai extrait quelques passages , non pas, certes, sous l'impression "QU'ON NE SAURAIT MIEUX DIRE" mais comme un témoignage de ma façon de juger la peinture en ces années lointaines, et -après tout- je crains que je ne sois encore de mon avis!"