Collection d'un amateur lillois - Faïences anciennes françaises et étrangères - Delft à fond noir et polychrome
Liste des ouvrages
Les faïences de Delft
Boyazoglu, Jan et Neuville, Louis de
Jacques Grancher, éditeur, Paris, 1980.
In-4, pleine toile éditeur, titre doré sur le plat supérieur et le dos, jaquette illustrée en couleur, 302 pp.
Avec 209 illustrations en noir in texte et 110 illustrations en couleur en hors-texte ; un cahier de marques de fabrique.
Bon état. Jaquette frottée avec déchirures marginales.
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Chapitre I. Définitions et limites - Etat de la question. - Chapitre II. La trame historique. - Chapitre III. Les grandes faïenceries : De Dissel. - Het Fortuin... De Twee Wildermannen. - De Witte Starre - Chapitre IV. Les techniques - Les Formes. - Chapitre V. Les décors. - Chapitre VI. Les imitations, les copies et les faux. - Chapitre VII. Les analogies. - Conclusion - Planches en couleur - Les annexes : Principales fabriques. - Propriétaires et directeurs. - Monogrammes, signatures et marques. - Les marques. - Dimensions des pièces reproduites - Bibliographie - Table des matières.
"Aux XVIIe et XVIIIe siècles, il n'y eut pas moins de quarante fabriques importantes dans la petite cité nordique.
"L'industrie de Delft est née de la conjoncture économique et commerciale très favorable à la Hollande au XVIIe siècle. La Compagnie néerlandaise des Indes Orientales amenait par cargaisons entières la porcelaine chinoise. La tentation était grande pour les faïenciers hollandais d'imiter ces mystérieux produits réalisés dans l'Empire Céleste. Aussi, après les avoir copiés, les faïenciers de Delft les interpréteront librement et créeront de véritables chefs-d'oeuvre. Le succès fut tel que toute l'Europe, à son tour, se mit à plagier les réalisations de Delft."
"L'industrie de Delft est née de la conjoncture économique et commerciale très favorable à la Hollande au XVIIe siècle. La Compagnie néerlandaise des Indes Orientales amenait par cargaisons entières la porcelaine chinoise. La tentation était grande pour les faïenciers hollandais d'imiter ces mystérieux produits réalisés dans l'Empire Céleste. Aussi, après les avoir copiés, les faïenciers de Delft les interpréteront librement et créeront de véritables chefs-d'oeuvre. Le succès fut tel que toute l'Europe, à son tour, se mit à plagier les réalisations de Delft."
